LES ARTISTES
C’est toute une équipe de passionnés qui au fil des rencontres et des vernissages, fait une sélection pour vous de véritables talents.
Certains dont le travail est déjà reconnu, d’autres en phase de le devenir, tous ont un point commun : la sensibilité.
Nous mettons à jour régulièrement cette page ; si vous souhaitez être informés des nouveaux artistes et oeuvres que «De L’Art Au jardin» expose, enregistrez vous ici !
LISELOTTE
ANDERSEN
Née en 1968, de nationalité franco-danoise, je me suis installée en Provence en 2002 après quelques chapitres de vie en Afrique du Nord, au Danemark, en Asie centrale et à Paris.
J’ai longtemps travaillé à l’UNESCO sur les thèmes, notamment, de la diversité culturelle, de la culture de la paix et de la non-violence et de la préservation du patrimoine, autant de sources d’inspiration dans mes créations.
Les arts plastiques – le dessin et la sculpture en particulier – ont toujours fait partie de ma vie. J’ai suivi des ateliers ouverts aux Beaux Arts d’Aix-en-Provence, affiné mes techniques aux côtés d’artistes qui m’ont ouvert leur atelier et effectué des stages sur les étapes allant du modelage jusqu’à la fonderie d’art. Et le processus d’auto-apprentissage en tant qu’autodidacte est bien entendu continu…
J’expose en France et à l’étranger depuis 1991, en collaboration avec des galeries permanentes ou en qualité d’organisatrice de mes propres expositions éphémères sur des espaces publics et privés et dans le cadre de salons internationaux.
LISELOTTE
ANDERSEN
Née en 1968, de nationalité franco-danoise, je me suis installée en Provenceen 2002 après quelques chapitres de vie en Afrique du Nord, au Danemark, en Asie centrale et à Paris.
J’ai longtemps travaillé à l’UNESCO sur les thèmes, notamment, de la diversité culturelle, de la culture de la paix et de la non-violence et de la préservation du patrimoine, autant de sources d’inspiration dans mes créations.
Les arts plastiques – le dessin et la sculpture en particulier – ont toujours fait partie de ma vie. J’ai suivi des ateliers ouverts aux Beaux Arts d’Aix-en-Provence, affiné mes techniques aux côtés d’artistes qui m’ont ouvert leur atelier et effectué des stages sur les étapes allant du modelage jusqu’à la fonderie d’art. Et le processus d’auto-apprentissage en tant qu’autodidacte est bien entendu continu…
J’expose en France et à l’étranger depuis 1991, en collaboration avec des galeries permanentes ou en qualité d’organisatrice de mes propres expositions éphémères sur des espaces publics et privés et dans le cadre de salons internationaux.
ISABEAU
CHIRAT
L’essence même de mes travaux est la recherche de l’équilibre entre le précieux et le sans valeur, le rien et le quelque chose. Sans l’un, l’autre ne subsiste pas.
L’objet prend toute sa dimension dans la mise en espace. Il existe tant par son volume que par son ombre portée.C’est dans cette définition de la trace ou de l’empreinte que je traduis, avec ma sensibilité, une certaine écriture jouant du plein et du vide.
Récupérer pour réinventer et trouver la genèse, la conjugaison entre les éléments ou matières opposés.
ISABEAU
CHIRAT
L’essence même de mes travaux est la recherche de l’équilibre entre le précieux et le sans valeur, le rien et le quelque chose. Sans l’un, l’autre ne subsiste pas.
L’objet prend toute sa dimension dans la mise en espace. Il existe tant par son volume que par son ombre portée.C’est dans cette définition de la trace ou de l’empreinte que je traduis, avec ma sensibilité, une certaine écriture jouant du plein et du vide.
Récupérer pour réinventer et trouver la genèse, la conjugaison entre les éléments ou matières opposés.
ALAIN
DE MANCA
A 25 ans, Alain De Manca rejoint les Compagnons du devoir de Châteauroux, où il apprend à tailler la pierre. Le Sarde s’est depuis porté sur la sculpture en fil métallique pour sculpter l’énergie du vide, afin de transmettre des messages simples mais puissants dans ses œuvres.
ALAIN
DE MANCA
A 25 ans, Alain De Manca rejoint les Compagnons du devoir de Châteauroux, où il apprend à tailler la pierre. Le Sarde s’est depuis porté sur la sculpture en fil métallique pour sculpter l’énergie du vide, afin de transmettre des messages simples mais puissants dans ses œuvres.
Henri-François Dumont
Henri-François Dumont est de ces artistes autodidactes au style particulièrement reconnaissable et novateur. Parmi ses plus de 300 pièces uniques sur le thème du siège détourné de sa fonction, nombre d’entres elles ont été exposées à Moscou, Paris, et plus récemment à l’Isle sur la Sorgue.
HENRI-FRANÇOIS DUMONT
Henri-François Dumont est de ces artistes autodidactes au style particulièrement reconnaissable et novateur. Parmi ses plus de 300 pièces uniques sur le thème du siège détourné de sa fonction, nombre d’entres elles ont été exposées à Moscou, Paris, et plus récemment à l’Isle sur la Sorgue.
MARC
DURAN
Marc Duran est né à Sète en 1960. Il est artiste peintre, figuration libre et surréaliste.
La nature abrite des forces mystérieuses qui construisent le monde ou nous vivons.
La musique pour Marc DURAN, c’est le miroir de son âme, elle recèle ses émotions, le chagrin, la satisfaction, la joie, la colère et l’amour.
L’art est de nature divine, Marc DURAN a entendu sa musique intérieure, son esprit en est rempli et ses tableaux traduisent la découverte de sa vraie nature, ce sont ces espaces particuliers qui abritent sa véritable inspiration. Marc DURAN décrit son univers comme un organisme, un corps individué vivant et respirant. Son ardeur mystique repose sur le désir d’approcher la connaissance de soi….. Fabuleux Marc DURAN.
MARC DURAN
Michel
Froment
Artiste parfois qualifié de « néopop », modeleur de bizarre et d’absurde, Michel Froment est l’antithèse du minimalisme moderne.
Installé dans la Drôme provençale, il crée à partir de métal et de résine des personnages hauts en couleurs et en émotions. De nombreux amateurs ont déjà craqué pour une de se pièces, notamment Pierre Cardin qui a su le repérer dès ses débuts.
Michel
Froment
Corado Gardone s’intéresse à ce qu’il y a d’éphémère et de vulnérable dans tout ce que l’homme produit comme dans sa propre existence. Il travaille à la « dématérialisation » de matériaux industriels pour atteindre l’harmonie de volumes et matières créée par la nature et le passage du temps sur les fragiles créations humaines.
Très ému face a des bâtiments en ruine ou à des machines rouillées envahies par la verdure, son travaille est empreint de cette idée de temporalité qui bouscule notre perception des choses.
Corado Gardone
Corado Gardone
Ernst Gunter Herrmann
La matière brute des sculptures d’Ernst Gunter Herrmann est l’acier ou l’inox. A partir de différentes tôles, il découpe à la torche à plasma quatre tiges pour les assembler entre elles et former des cadres. Ceux-ci sont ensuite emboités et assemblés pour former des sculptures s’incorporant dans un site paysager adapté à un terrain plus ou moins accidenté
Ernst Gunter Herrmann
La matière brute des sculptures d’Ernst Gunter Herrmann est l’acier ou l’inox. A partir de différentes tôles, il découpe à la torche à plasma quatre tiges pour les assembler entre elles et former des cadres. Ceux-ci sont ensuite emboités et assemblés pour former des sculptures s’incorporant dans un site paysager adapté à un terrain plus ou moins accidenté
PIERRE
MANZONI
Ancien ingénieur civil, Pierre Manzoni réalise des sculptures empreintes de forces animales, liant maîtrise technique et légèreté poétique. La qualité de ses œuvres fût reconnue avant même qu’il n’expose pour la première fois, plusieurs collectionneurs d’art ayant eu un coup de cœur pour son travail dès ses débuts. Archaïques, puissantes, presque mouvantes et pourtant incroyablement stables, ses sculptures dégagent une aura unique.
PIERRE
MANZONI
André
Miorin
Depuis son plus jeune âge, André Miorin s’est toujours intéressé à la sculpture. D’abord par le bois, puis le marbre et le fer, il apprend diverses techniques qui lui permettent aujourd’hui de mêler ces matériaux dans ses œuvres. Toutes en courbes, jouant sur les ombres et les dynamiques, il expose aujourd’hui dans certains des plus beaux jardins et paysages de Provence.
André
Miorin
PIERRE
SGAMMA
Pierre Sgamma est un artiste sculpteur né en 1961. Ses oeuvres bousculent toujours le spectateur et passe par tout type de supports : des figurines en céramique à des installations gigantesques.
Ses compositions fantastiques voir surréalistes, perturbent, troublent, ébranlent, heurtent parfois. Il nous dit : « Dans les moments de production et de création les plus intenses, je ne travaille pas, je joue. Chaque pièce est un morceau de moi, chargé de mon expérience d’amour, de violence, de peurs, de manques, de désirs ; je me moque de moi, de cette grande comédie qu’est la vie. »
PIERRE
SGAMMA
Pierre Sgamma est un artiste sculpteur né en 1961. Ses oeuvres bousculent toujours le spectateur et passe par tout type de supports : des figurines en céramique à des installations gigantesques.
Ses compositions fantastiques voir surréalistes, perturbent, troublent, ébranlent, heurtent parfois. Il nous dit : « Dans les moments de production et de création les plus intenses, je ne travaille pas, je joue. Chaque pièce est un morceau de moi, chargé de mon expérience d’amour, de violence, de peurs, de manques, de désirs ; je me moque de moi, de cette grande comédie qu’est la vie. »
Jean Suzanne
Jean Suzanne
Jean-Louis Toutain
Né à Toulouse en 1948, Jean Louis Toutain a exploré de nombreux domaines et métiers avant d’être reconnu en tant qu’artiste.
Au départ apprenti céramiste, il passera par l’architecture, l’imprimerie la publicité ou encore le design avant de se consacrer pleinement à la sculpture. Tout en courbes et en minimalisme, son style a été de nombreuses fois prisées avant les années 2000, et sa popularité ne baisse pas parmi les collectionneurs.
Jean-Louis Toutain
Né à Toulouse en 1948, Jean Louis Toutain a exploré de nombreux domaines et métiers avant d’être reconnu en tant qu’artiste.
Au départ apprenti céramiste, il passera par l’architecture, l’imprimerie la publicité ou encore le design avant de se consacrer pleinement à la sculpture. Tout en courbes et en minimalisme, son style a été de nombreuses fois prisées avant les années 2000, et sa popularité ne baisse pas parmi les collectionneurs.
Félix Valdelièvre
Félix Valdelièvre a grandi dans l’atelier de Lithographie Pousse-Caillou à Roquefort des Corbières. D’une grande sensibilité artistique dès l’enfance, il devra se lancer dans une formation d’installateur chauffagiste pour découvrir la soudure, qui le passionne alors immédiatement. Il change donc de voie pour se lancer dans l’art, avec des séries comme « les bestioles » ou « les piafs », avant d’atteindre aujourd’hui son affection des formes oblongues destructurées.
Félix Valdelièvre
Félix Valdelièvre a grandi dans l’atelier de Lithographie Pousse-Caillou à Roquefort des Corbières. D’une grande sensibilité artistique dès l’enfance, il devra se lancer dans une formation d’installateur chauffagiste pour découvrir la soudure, qui le passionne alors immédiatement.
Il change donc de voie pour se lancer dans l’art, avec des séries comme « les bestioles » ou « les piafs », avant d’atteindre aujourd’hui son affection des formes oblongues destructurées.
Ciris Vell
Diplômée de l’Ecole Boulle de Parix ainsi que de l’ESAG, Ciris Vell est une plasticienne ayant élu domicile à l’Isle sur la Sorgue.
Peintre et sculptrice, elle compose des œuvres abstraites à partir de lignes et de formes de divers matériaux bruts. Tout en géométrie, elle s’est forgé un style très reconnaissable mettant souvent en scène le même bleu profond, peu à peu devenu l’une de ses marques de fabrique.
Ciris Vell
Diplômée de l’Ecole Boulle de Parix ainsi que de l’ESAG, Ciris Vell est une plasticienne ayant élu domicile à l’Isle sur la Sorgue.
Peintre et sculptrice, elle compose des œuvres abstraites à partir de lignes et de formes de divers matériaux bruts. Tout en géométrie, elle s’est forgé un style très reconnaissable mettant souvent en scène le même bleu profond, peu à peu devenu l’une de ses marques de fabrique.
ÉTIENNE
VIARD
Étienne Viard est un sculpteur français né en 1954. Il vit et travail entre Paris et le sud de la France. Autodidacte, Étienne Viard s’intéresse d’abord à la céramique, puis très rapidement se consacre à la sculpture. Il s’inspire du mouvement minimaliste qui réduit l’essentiel du vocabulaire plastique à l’un de ses composants élémentaire : la ligne. Etienne Viard utilise principalement l’acier Corten dont l’aspect de corrosion superficiel confronte l’installation à son environnement.
Il a eu l’occasion d’énormément exposer en perso notamment à la galerie Modus à Berlin, la Cité Radieuse à Marseille, à la galerie Avant Garden à New York en encore à Paris Art Fair avec la galerie Berthet-Aittouarès.
ÉTIENNE
VIARD
Étienne Viard est un sculpteur français né en 1954. Il vit et travail entre Paris et le sud de la France. Autodidacte, Étienne Viard s’intéresse d’abord à la céramique, puis très rapidement se consacre à la sculpture. Il s’inspire du mouvement minimaliste qui réduit l’essentiel du vocabulaire plastique à l’un de ses composants élémentaire : la ligne. Etienne Viard utilise principalement l’acier Corten dont l’aspect de corrosion superficiel confronte l’installation à son environnement.
Il a eu l’occasion d’énormément exposer en perso notamment à la galerie Modus à Berlin, la Cité Radieuse à Marseille, à la galerie Avant Garden à New York en encore à Paris Art Fair avec la galerie Berthet-Aittouarès.
VÉRONIQUE
WIRTH
Véronique Wirth est une sculptrice, mais aussi peintre et dessinatrice française née le 1964 qui vit et travaille dans le Vaucluse. Elle s’inspire majoritairement du monde vivant, de la nature… Véronique cherche à évoquer le mouvement, la légèreté et la force aussi. Pour cela, elle utilise le fil d’acier, son matériau de prédilection. Ses oeuvres sont souvent monumentales.
Ses sculptures sont exposées lors d’évènements internationaux, en galeries, Fondation Villa Datris, membre de la Fondation Taylor. Elle a également reçu plusieurs prix pour son travail pictural.
« Dans toute sculpture, je suis en quête d’équilibre, de lignes essentielles… Je cherche la force dans le simple, ma démarche a des teintes minimalistes. ».
VÉRONIQUE
WIRTH
Véronique Wirth est une sculptrice, mais aussi peintre et dessinatrice française née le 1964 qui vit et travaille dans le Vaucluse. Elle s’inspire majoritairement du monde vivant, de la nature… Véronique cherche à évoquer le mouvement, la légèreté et la force aussi. Pour cela, elle utilise le fil d’acier, son matériau de prédilection. Ses œuvres sont souvent monumentales.
Ses sculptures sont exposées lors d’évènements internationaux, en galeries, Fondation Villa Datris, membre de la Fondation Taylor. Elle a également reçu plusieurs prix pour son travail pictural.
« Dans toute sculpture, je suis en quête d’équilibre, de lignes essentielles… Je cherche la force dans le simple, ma démarche a des teintes minimalistes. ».
Elisabeth
Von Wrede
Elisabeth Von Wrede est une coloriste singulière du fait qu’elle sublime les couleurs vives en les cachant.
Ses toiles composées de nuances éclatantes et de textes mystérieux sont parsemées d’une multitude de ce carré blanc qui est aujourd’hui sa marque de fabrique, créateur de mystère et de tentation chez le spectateur.
Elisabeth
Von Wrede
Elisabeth Von Wrede est une coloriste singulière du fait qu’elle sublime les couleurs vives en les cachant.
Ses toiles composées de nuances éclatantes et de textes mystérieux sont parsemées d’une multitude de ce carré blanc qui est aujourd’hui sa marque de fabrique, créateur de mystère et de tentation chez le spectateur.
FRANCIS GUERRIER
Francis Guerrier est né à Marseille en 1964, fils du peintre Raymond Guerrier et de Francesca Guerrier, céramiste. Dès son enfance à Eygalières, l’art est présent dans son quotidien et l’influencera toute sa vie. À 20 ans il quitte la Provence pour Paris. Il se forme à la scénographie et devient concepteur
de décor pour le théâtre, la danse, la musique et l’évènementiel.
Depuis 2000 il se consacre à la sculpture. En 2013, il décide de revenir aux sources et construit à Eygalières l’atelier de ses rêves qui lui permettra de réaliser ses sculptures monumentales.
« Je ne modèle pas mes sculptures, je travaille à partir d’une feuille de métal que je découpe et mets en forme. En honorant la matiere, en respectant son energie, son ressort, sa courbure possible, j’atteins l’équilibre, l’harmonie, j’y retrouve la nature…
Et c’est elle, dans sa pureté mais aussi sa complexité qui est ma première inspiration. Les courbes, les lunes, les trajectoires et surtout les spirales si souvent présentes dans la nature, du coquillage aux galaxies sont mon écriture. Je ne cherche pas l’abstraction, mais au contraire, à me rapprocher des formes originelles. »
NICOLE BROUSSE
Sculpteur femme et sculpteur de femmes, formée à l’Ecole des Beaux Arts de Marseille
Elle vit son œuvre comme un voyage dans le temps de l’antiquité vers le futur, traversant des civilisations et des cultures à partir de son propre voyage intérieur. Ses sculptures initiales sont faites de grès enfumé, puis elle commence à travailler le bronze, le béton et les matières composites
Elle crée des torses de femmes puis à partir des années 90 des corps de femmes parfois guérrières, parfois sereines et énigmatiques A partir de 2007, Nicole Brousse développe son « parcours » composé de 20, 30 sculptures, véritable concept qu’elle décline à l’infini selon les lieux proposés en habitant les espaces, lieux, jardins et villes, « ses sculptures prennent vie ». Symbolisme et spiritualité inhérents à ses créations nous plongent dans un parcours initiatique et magique et nous invitent à « Renaître à soi ».
THOMA RYSE
C’est en 2000 dans l’ancienne école d’un village des Côtes-d’Armor, à quelques milles de Paimpol et Bréhat que Thoma Ryse a installé son grand atelier.
Né à Toulouse, ce parisien d’adoption n’a eu de cesse de retrouver l’ambiance de son adolescence, lorsqu’il fréquentait les écoles de voile de la région. Elève rêveur, il sut dès l’enfance que l’art occuperait sa vie. Il commença dès sa douzième année à peindre, à dessiner et à modeler des formes en terre.
Son activité de plasticien se déploie en France ou à l’étranger dans plusieurs domaines : la peinture, la sculpture — les installations — la conception de pièces uniques pour les faïenceries Henriot à Quimper — La mise au point d’une collection pour les faïenceries de Longwy — la création de “Cartons” pour les tapis et tapisserie d’un éditeur belge. Toutes ses œuvres très chromatiques intègrent aux formes les plus libres, les plus pulsionnelles, des formes très contrôlées et réféchies empruntées au vocabulaire géométrique comme pour nous convaincre que la réconciliation entre le sensible et le rationnel. est possible.
La couleur n’est pas pour lui simplement un médium ; elle est un état d’esprit, une manifestation de l’esprit. Le thème du soufe originel, du Tao, est récurrent dans le parcours de cet artiste, qui en Bretagne ou en Chine ne cesse d’interroger les résurgences spirituelles présentes dans chaque instant.
stephane bastien
Artiste autodidacte. Il débute seul par le modelage, puis fréquente l’atelier d’Alberto CARLISKY à Paris pendant un an.
Dans le courant des années 1990 il découvre et fréquente régulièrement le studio NICOLI à Carrara, spécialiste historique de la sculpture sur marbre. Dessins, Modelage, Plâtre, fer, resines, pierre et marbre. Style figuratif.
Parmi les différents thèmes qu’il aborde, celui de la plage occupe une place importante dans son travail. Les codes de la plage, ses codes sociaux, le rapport au corps.
Avec « Exposition au soleil » il a participé à plusieurs expositions et installations (Espace Scipion à Paris, La Passerelle a l’Ile-sur-la-Sorgue, Saint-Tropez, Carpentras, Jardins privés…)
EMILIE TOLOT
Sculptrice et réalisatrice de films d’animation, Emilie Tolot mélange une formation classique à un geste contemporain.
Elle sculpte le mouvement, le fixe, l’anime et fait dialoguer sa sculpture avec la danse et le cinéma.
L’alchimie entre sa sensibilité, son exigence, la maîtrise technique et la poésie nous emporte vers un monde lumineux, magique.
DANIEL HOURDÉ
Artiste autodidacte, Daniel Hourdé apprend la peinture et le dessin à l’âge de 14 ans auprès d’une artiste peintre à Sète. En 1970, il intègre l’École des Beaux-Arts de Grenoble alors âgé de vingt ans et poursuit à l’École des Beaux-Arts de Paris.
Sa première exposition personnelle a lieu au musée de Villefranche-sur-Saône en 1980. Depuis, il fait l’objet de nombreuses expositions en galerie, musées et salons, à Paris et à l’étranger. Ses œuvres peuvent également se retrouver dans les rues de la capitale, comme en 2016 lorsqu’il investit le Pont des Arts. Il vit et travaille actuellement à Paris.
Le travail de Daniel Hourdé prend des formes multiples, dessins, installations, mais la sculpture reste centrale dans sa démarche artistique avec l’utilisation de la fonte à cire perdue. Complexe et remplie de sens, son œuvre est habitée par l’héritage du christianisme et par une fascination de l’iconographie religieuse notamment avec le motif de la couronne d’épines qui est très présent.
BENOÎT DAVID
Benoit David est un sculpteur contemporain primé de 53 ans qui vit et travaille à Coustellet (Vaucluse) depuis 2003.
Après une initiation artistique au Canada, il revient en France pour travailler la pierre puis s’oriente vers le métal où il réalise tout, lui-même, de la maquette à la coulée du bronze.
Depuis 2015, il se spécialise dans la réalisation de mobiles monumentaux en acier animés par la seule force de l’air.
YANN ERIC EICHENBERGER
Né en 1974, il a appris à parler et à marcher dans la Communauté Artistique de Piégon, fondée en
Provence par son grand-père, peintre genevois « exilé ». A l’âge de six ans, son père quitte la vie artistique pour l’agriculture, changement de vie. Plus tard, il apprend les bases du modelage avec son grand-père, Jean-Pierre Eichenberger, autour de deux grandes règles :
-« Il faut faire circuler la lumière » et « La démonstration du contraire »… Il réalise avec lui en 1996 une sculpture monumentale de 30m de long et 6m de haut qui va être le déclic. Une année de travail quotidien que je considère aujourd’hui comme ma seule « école d’art ».
En parallèle, un deuxième maître, Guy Leriche, va lui enseigner de façon intensive à « réaliser et finaliser » ses sculptures, travail en terre de Bollène, matériau exceptionnel qu’il va travailler environ dix ans.
ETIENNE VIARD
D’abord formé comme céramiste, Etienne Viard élabore à présent ses œuvres à partir d’un
matériau plus dur, plus résistant: l’acier. Il travaille la tension du métal jusqu’à sa limite. Les formes sont ensuite assemblées dans des compositions toujours plus audacieuses, comme un défi aux lois de la gravitation. S’appuyant auparavant sur des dessins préparatoires, il imagine ses sculptures à partir de maquettes, pour mieux appréhender la place et l’équilibre de ses œuvres dans l’espace.
« Ma sculpture s’élabore sur ces morceaux d’impatience que je cherche à sauvegarder le plus intensément sans statufier ce premier jet » Car si les œuvres refusent de se plier aux lois connues de la physique, elles ne sont pas pour autant figées mais sont l’évocation perpétuelle d’une basculement. L’illusion de cet équilibre est minutieusement étudiée : « Le lien vient d’une articulation qui ne se voit pas, d’une soudure que je veux discrète et qui retient l’ensemble ».
La force des créations d’Etienne Viard, qui questionnent notre sens de l’observation et nient notre empirisme, est de retarder indéfiniment l’instant de la chute.
CYRILLE HUSSON
La statuaire de Cyrille Husson est une expression brute qui utilise la matière et la forme comme vecteurs de ressenti dans une recherche de grâce et d’équilibre. Son travail joue des contrastes: l’artificiel (la technique) et la recherche d’évidence naturelle, la modernité (la temporalité) des formes et la recherche d’immuable.
En ce sens, le travail de Cyrille Husson est une célébration de l’espace et des lois physiques. Le sculpteur recherche l’évidence naturelle qui relie la terre et l’air, qui crée le silence autour d’elle, invite à la contemplation et par là, arrête le temps pour ne laisser place qu’à la sensation pure de l’espace et de soi-même immergé.»